Pourquoi et comment intégrer la vidéo dans vos présentations PowerPoint pour maximiser l’impact de votre message ?

Saviez-vous que nous retenons 95 % d’un message lorsqu’il est diffusé en vidéo, contre seulement 10 % lorsqu’il est lu sous forme de texte (SlideGenius, 2018) ? Un écart saisissant, qui en dit long sur la puissance de ce format.

Pourtant, la grande majorité des présentations professionnelles continuent de s’appuyer uniquement sur des diapositives statiques. Résultat : l’audience décroche, et l’essentiel du message se perd en route.

Mais encore faut-il savoir comment utiliser la vidéo de manière pertinente. Car mal intégrée, elle peut vite devenir un gadget qui détourne votre audience du message principal, voire qui l'agace.

Pour en parler, nous avons eu la chance de pouvoir échanger avec Jonathan Gual, Responsable Communication et RSE chez Pierre & Vacances.* Habitué à utiliser la vidéo dans ses supports stratégiques, il partage son expérience et son regard d’expert sur la manière dont ce format peut transformer une présentation PowerPoint en véritable récit engageant, aussi bien en interne qu’avec des partenaires externes.*

Pourquoi la vidéo renforce l’impact de vos présentations

Vos slides sont claires, bien structurées… mais au bout de quelques minutes, vous voyez les regards se perdre. C’est normal : notre cerveau n’est pas conçu pour rester concentré devant un flot continu de texte ou de graphiques. La vidéo, elle, change complètement la donne. Découvrons comment.

Des messages entendus et retenus

Un texte seul s’oublie vite. Une vidéo, en revanche, active à la fois la mémoire visuelle et la mémoire auditive : double canal, double impact. Non seulement elle facilite la compréhension immédiate, mais elle renforce aussi la mémorisation à long terme.

Les chercheurs en sciences cognitives parlent de la théorie de l’apprentissage multimédia (Mayer, 2001) : plus un message mobilise de canaux sensoriels différents, plus il a de chances d’être retenu. En clair, vous maximisez vos chances de rester dans l’esprit de votre audience, même plusieurs jours après la présentation.

C’est ce que confirme Jonathan Gual : « La vidéo oblige à aller à l’essentiel. En deux minutes, on ancre des messages que des dizaines de slides n’auraient pas transmis aussi efficacement. »

Capter l'attention, c'est bien. La garder, c'est mieux

Soyons honnêtes : après dix minutes de PowerPoint classique, la moitié de votre public est déjà ailleurs. Une vidéo attire immédiatement le regard, réveille une salle fatiguée et redonne du rythme à votre présentation, et cela en brisant la linéarité d’une suite de slides.

Insérée au bon moment, elle agit comme une respiration qui remet l’audience en mouvement. Jonathan l’utilise comme un point d’appui fort dans ses présentations : « La vidéo venait rompre la monotonie du PowerPoint et donner une impulsion collective. »

Il rappelle aussi que cette séquence agit comme un marqueur de rythme : elle introduit une pause visuelle et sonore qui rend la suite de la présentation plus facile à suivre et plus engageante.

Créer une connexion émotionnelle

Un graphique convainc, mais il ne touche pas. Une vidéo, elle peut émouvoir, faire sourire, donner envie d’agir. La combinaison d’image, de musique et de voix humaine crée une expérience plus immersive et plus mémorable que n’importe quel tableau Excel.

C’est exactement ce que Jonathan a constaté : ses vidéos ne se sont pas contentées de transmettre une stratégie ou un concept abstrait. Elles ont touché ses collaborateurs et partenaires bien au-delà du rationnel. Elles ont su parler « au cœur », créer une résonance émotionnelle qui reste en mémoire.

Et ce pouvoir émotionnel n’est pas un détail. Les recherches en communication montrent que l’émotion est un levier majeur de mémorisation et de persuasion (Heath & Heath, Made to Stick, 2007). En activant l’émotionnel, vous donnez bien plus de chances à votre message d’être retenu… et d’influencer les décisions.

Vous l’avez compris : la vidéo peut renforcer la mémoire, relancer l’attention et créer une connexion émotionnelle forte. Mais encore faut-il l’utiliser au bon moment. Car une vidéo n’a pas le même effet selon le cadre dans lequel vous présentez : salle de réunion, grand séminaire, visioconférence… Chaque contexte appelle une stratégie différente.

Quand et dans quels contextes intégrer la vidéo

En présentiel : transformer une présentation en moment fort

Quand vous prenez la parole devant un public (événement, convention interne, comité de direction), la vidéo peut devenir votre meilleur allié. Dans ce type de contexte, l’enjeu est simple : capter l’attention dès les premières minutes et créer une dynamique collective. Or, un PowerPoint classique peine souvent à tenir ce rôle.

La vidéo, elle, agit comme un catalyseur. Elle installe un rythme, donne une incarnation au discours et transforme une présentation en expérience partagée. Vous pouvez l’utiliser pour lancer votre intervention avec énergie, clarifier un message stratégique ou conclure en laissant une trace émotionnelle forte.

C’est exactement ce qu’a fait Jonathan Gual chez Pierre & Vacances lorsqu’il a présenté sa nouvelle plateforme de marque. Plutôt que de dérouler un document statique, il a choisi d’intégrer une vidéo montrant les lieux, les équipes et l’esprit de la marque. « Là où un PowerPoint peut s’étirer, la vidéo condense. […] En quelques minutes, tout le monde a été embarqué dans le même récit », explique-t-il. Résultat : la vidéo est devenue un “point de ralliement”.

La vidéo a d’ailleurs connu une seconde vie par la suite. Elle est régulièrement réutilisée : “On nous la redemande tout le temps : pour ouvrir un séminaire, pour la passer en réunion d’équipe, pour la partager avec des partenaires”, nous confie Jonathan. Preuve qu’un contenu vidéo bien conçu dépasse le cadre d’une seule présentation et devient un véritable outil de communication transverse.

En distanciel : maintenir l’attention dans un environnement dispersé

On associe souvent la vidéo aux grands séminaires ou aux réunions stratégiques en présentiel. Pourtant, c’est dans les formats à distance qu’elle peut s’avérer la plus précieuse. Car derrière un écran, les conditions d’écoute ne sont jamais idéales : les participants jonglent avec leurs mails, leurs messageries, parfois même d’autres réunions en parallèle. Dans ce contexte, l’attention chute beaucoup plus rapidement qu’en présentiel.

La vidéo vient alors jouer un rôle clé. Elle relance l’intérêt, illustre un message de façon plus parlante et recrée un minimum de proximité humaine, là où un simple partage de slides ne suffit pas. Intégrée au bon moment, elle redonne du rythme et permet de garder votre audience connectée à votre propos.

Interrogé sur cette tendance, Jonathan nous confirme : “Je pense que la vidéo est devenue de plus en plus incontournable notamment du fait des usages des réseaux sociaux. Là où le web était très écrit, la consommation digitale est de plus en plus tournée vers la vidéo. Et n’oublions pas ce qu’est une bonne vidéo : c’est à la fois une porte d’entrée (elle capte l’attention en quelques secondes), une respiration (elle relance le rythme d’une présentation) et une trace (elle reste en mémoire bien après la réunion).”

Dans un environnement professionnel où le digital s’impose de plus en plus, intégrer la vidéo dans vos supports PowerPoint devient donc un levier incontournable pour maintenir l’attention et donner de la force à vos messages, aussi bien en présentiel qu’en distanciel. Mais entre l’idée et la pratique, il y a parfois un grand pas. Alors, comment éviter les écueils techniques et garantir une intégration fluide dans vos présentations ?

Comment intégrer une vidéo dans PowerPoint

Choisir les bons formats et insérer correctement votre vidéo

La première règle est de privilégier les formats universels et légers, comme le .mp4 (H.264). Ils offrent une bonne qualité d’image tout en restant compatibles avec la majorité des versions de PowerPoint. Évitez les formats trop lourds ou exotiques (comme .mov ou .avi), qui risquent de ne pas se lancer correctement le jour J.

Ensuite, une question clé : faut-il insérer la vidéo directement dans la présentation ou la lier depuis une source externe (YouTube, site web, intranet) ?

• Lien externe : pratique mais risqué (connexion internet instable, latence, publicités qui s’affichent).
• Fichier intégré : plus sûr et plus fluide, à condition d’optimiser la taille du fichier pour éviter un PowerPoint trop lourd.

Et n’oubliez pas un point souvent négligé : le son. Une vidéo muette perd une grande partie de son impact. Si vous présentez en visioconférence, pensez à activer le partage du son de votre ordinateur. C’est un détail technique… mais qui fait toute la différence entre une vidéo qui capte et une vidéo qui décrédibilise.

Paramétrer la lecture pour garder la maîtrise

Une vidéo bien choisie peut sublimer votre présentation… à condition de ne pas laisser le hasard décider de son déclenchement. PowerPoint propose plusieurs options simples mais stratégiques pour contrôler la lecture.

La première question à se poser : faut-il lancer la vidéo automatiquement ou au clic ?

• Lecture automatique : idéale pour un lancement percutant en début de présentation, ou lorsque la vidéo est clairement intégrée dans votre narration.
• Lecture au clic : préférable si vous voulez garder la main sur le rythme et introduire la vidéo par quelques mots avant de la diffuser.

Pensez aussi à vérifier le volume sonore. Un son trop faible ruine l’expérience, un son trop fort peut au contraire surprendre et gêner l’audience. Prenez deux minutes pour ajuster les niveaux dans PowerPoint et faire un test de diffusion, que ce soit en salle ou en visioconférence.

Un autre point essentiel : l’affichage en plein écran. Rien de pire qu’une vidéo qui démarre en miniature au milieu d’une diapositive. Activez l’option “Agrandir en plein écran” pour donner à vos visuels toute leur puissance.

Anticiper les problèmes techniques pour éviter les mauvaises surprises

Une vidéo peut renforcer votre message ou tout gâcher si elle ne se lance pas correctement. Les problèmes techniques sont souvent liés à des détails simples mais négligés.

La première règle, c’est de compresser vos vidéos. Un fichier trop lourd ralentit l’ouverture du PowerPoint, peut provoquer des saccades et risque même de planter la présentation. PowerPoint intègre un outil de compression dans l’onglet Fichier > Informations > Compresser les médias. Cela réduit la taille du fichier sans sacrifier la qualité visuelle.

Deuxième réflexe : tester la lecture en conditions réelles. Si vous présentez en salle, branchez votre ordinateur sur le projecteur ou l’écran prévu, et lancez la vidéo pour vérifier la fluidité du son et de l’image. Si vous êtes en visioconférence, faites un essai sur la plateforme utilisée (Teams, Zoom, Google Meet…) afin de vous assurer que l’image est nette et que le son est bien transmis.

Troisième point trop souvent oublié : prévoir un plan B. Emportez toujours vos vidéos en fichiers séparés (clé USB, dossier partagé en ligne). Ainsi, si PowerPoint rencontre un problème, vous pouvez les lancer directement depuis un lecteur vidéo classique.

Enfin, gardez à l’esprit que la vidéo doit servir votre message, pas le voler. Évitez les fichiers trop longs ou aux transitions approximatives : mieux vaut une vidéo courte, claire et bien montée qu’un contenu lourd qui perd votre audience en route.

Avec ces quelques précautions techniques, vous sécurisez vos présentations et donnez à vos vidéos toutes les chances de créer l’impact attendu.

Vous avez désormais les clés pour intégrer vos vidéos dans PowerPoint sans stress technique : choisir le bon format, paramétrer la lecture, tester et anticiper les imprévus. Mais insérer une vidéo ne suffit pas à en garantir l’impact. Comme tout outil de communication, son efficacité dépend surtout de la façon dont vous l’utilisez.

Les bonnes pratiques pour maximiser l’impact de vos vidéos

Choisir le bon type de vidéo selon l’objectif

Toutes les vidéos n’ont pas la même fonction. Avant de cliquer sur Insérer > Vidéo, demandez-vous quel est votre objectif. Voulez-vous convaincre, expliquer, inspirer, fédérer ? La réponse conditionne le format à privilégier.

• Un témoignage client : idéal pour inspirer confiance et crédibiliser votre offre.
• Une démonstration produit : parfaite pour rendre concret ce qui peut sembler abstrait.
• Un message du dirigeant : puissant pour mobiliser les équipes et donner une incarnation à la stratégie.
• Une vidéo de marque : essentielle pour installer une vision, un univers et une culture commune.

C’est ce dernier format qu’a privilégié Jonathan Gual chez Pierre & Vacances. Lors de la refonte de la plateforme de marque, il ne souhaitait pas se limiter à des slides pleines de concepts : “On voulait un récit collectif. Cette vidéo, c’est exactement ça : elle raconte ce que sont les vacances vues par Pierre & Vacances — simples, accessibles, joyeuses, mais aussi responsables et ancrées dans les territoires. Elle montre nos équipes, nos lieux, notre manière de transformer un séjour en vraie parenthèse.”

Cet exemple illustre bien une règle simple : une bonne vidéo ne se choisit pas pour sa forme, mais pour sa capacité à servir votre intention de communication.

Jouer sur la durée et le rythme

En matière de vidéo, le temps est un facteur décisif. Trop longue, elle lasse. Trop courte, elle frustre. La clé est de trouver la bonne durée pour maintenir l’attention sans diluer le message.

En règle générale, une vidéo intégrée dans un PowerPoint ne devrait pas dépasser 2 à 3 minutes. Au-delà, vous prenez le risque de perdre une partie de l’audience. L’objectif n’est pas de projeter un film institutionnel, mais d’apporter un souffle qui renforce votre présentation.

Le rythme compte tout autant. Une vidéo dynamique, bien montée, avec un enchaînement fluide des images et du son, capte l’attention dès les premières secondes. À l’inverse, un contenu plat ou trop lent peut casser l’élan de votre intervention.

C’est ce qu’a recherché Jonathan Gual chez Pierre & Vacances : « On a travaillé nos vidéos comme on monte une musique, avec un rythme précis et une intensité qui monte au bon moment. C’est ce qui permet de garder l’audience engagée sans décrochage. »

Une règle d’or à retenir : en vidéo comme en présentation, mieux vaut la concision percutante que la longueur approximative.

Soigner la contextualisation et la transition

Une vidéo n’a de valeur que si elle est correctement introduite et intégrée dans le déroulé de votre présentation. Trop souvent, on la lance sans préparation, comme un simple “à-côté”. Résultat : l’audience ne comprend pas pourquoi elle est là et décroche.

Pour éviter cela, pensez à contextualiser : expliquez en une phrase ce que votre public va voir et pourquoi vous avez choisi cette séquence. Un simple « Regardons ensemble comment cette vision se traduit concrètement » ou « Cette vidéo illustre parfaitement ce que je viens d’expliquer » prépare le terrain et donne du sens.

De même, la transition après la vidéo est tout aussi importante. Rebondissez immédiatement sur ce qui vient d’être vu. Reformulez le message clé, reliez-le à votre discours, et poursuivez le fil. C’est ce qui transforme une vidéo en véritable levier narratif plutôt qu’en pause gadget.

Jonathan Gual insiste sur ce point : ses vidéos ne sont jamais isolées, mais toujours insérées dans une logique de récit collectif. Elles servent de relais à son discours, puis laissent place à des messages clés reformulés pour ancrer l’idée.

Penser accessibilité et sous-titres

Une bonne vidéo doit toucher l’ensemble de votre audience. Or, vos interlocuteurs ne partagent pas toujours la même langue, ni les mêmes conditions d’écoute. Dans une grande salle, certains peuvent être éloignés des enceintes. En visioconférence, d’autres peuvent avoir un casque de mauvaise qualité ou un environnement bruyant. Et il ne faut pas oublier non plus les personnes en situation de handicap auditif.

La solution est simple : ajouter des sous-titres. PowerPoint permet d’intégrer facilement des sous-titres, soit en les important, soit en activant la fonctionnalité de sous-titrage automatique. Cela garantit que votre message est compris, même si le son est imparfait ou coupé.

Intégrer des sous-titres est un détail qui peut sembler secondaire, mais il reflète un haut niveau de professionnalisme et d’inclusion. C’est ce type de soin qui distingue une présentation correcte d’une présentation vraiment mémorable.

Ne pas en abuser

La vidéo est un outil puissant, mais comme tout outil puissant, son efficacité repose sur la mesure. Trop de vidéos dans une même présentation donnent l’impression d’un patchwork, brouillent le rythme et finissent par saturer l’audience.

Gardez en tête que la vidéo doit rester un levier narratif, pas une béquille. Elle vient renforcer votre discours, illustrer un point clé, créer une respiration… mais elle ne remplace pas le rôle de l’orateur. C’est vous qui portez le message, la vidéo n’est là que pour le soutenir. Mal utilisée, elle devient un gadget. Bien intégrée, elle devient un moment fort que les collaborateurs et partenaires continuent de se rappeler bien après la présentation.

Un bon indicateur est simple : si vous sentez que vous pourriez retirer une vidéo sans altérer le sens de votre présentation, alors elle est probablement superflue. Dans le cas contraire, si elle condense, illustre ou amplifie un message clé, alors elle a toute sa place.

S’entourer des bons partenaires

Concevoir une vidéo efficace ne s’improvise pas. Écriture, montage, storytelling, intégration technique… chaque étape demande une expertise spécifique. Trop souvent, les entreprises se contentent de recycler une vidéo déjà existante, pensée pour un autre canal (site web, réseaux sociaux, campagne institutionnelle). Résultat : le contenu fonctionne mal une fois projeté dans un PowerPoint, et l’effet tombe à plat.

C’est pourquoi il est essentiel de s’entourer de partenaires capables de créer des vidéos adaptées à la logique de présentation. Des vidéos pensées pour soutenir un discours, rythmer une intervention et s’intégrer naturellement à un support PowerPoint.

C’est l’approche choisie par Pierre & Vacances, accompagné par mprez et Polvo. L’union des expertises a été décisive :

• Polvo pour la production vidéo, avec une narration précise, des images impactantes et un montage rythmé.
• mprez pour l’intégration dans le support, afin que la vidéo s’inscrive dans une présentation fluide, cohérente et percutante.

Comme le raconte Jonathan Gual, cette collaboration a été un vrai facteur de réussite : « On avait une petite équipe, des délais serrés, et ça a donné une dynamique qui a fonctionné. Beaucoup d’allers-retours, mais toujours pour affiner, trouver le bon rythme, la bonne tonalité. »

L’exemple de Pierre & Vacances illustre bien la valeur d’une approche tripartite : le client qui porte une vision, un partenaire vidéo pour la mettre en images, et un expert de la présentation pour l’intégrer dans un dispositif et un récit global.

Le mot de la fin

La vidéo n’est pas un gadget dans une présentation PowerPoint : c’est un levier puissant pour renforcer la mémorisation, capter l’attention et créer une connexion émotionnelle. Encore faut-il l’utiliser au bon moment, dans le bon format et avec les bonnes pratiques pour éviter qu’elle ne desserve votre message.

L’expérience de Pierre & Vacances, accompagné par mprez et Polvo, illustre parfaitement ce potentiel. En intégrant des vidéos conçues pour soutenir une stratégie et pensées pour s’inscrire dans un récit collectif, l’entreprise a réussi à transformer une présentation en véritable outil fédérateur, réutilisé bien au-delà de son contexte initial.

Demain, les vidéos seront de plus en plus incontournables dans les présentations professionnelles. Non pas pour remplacer le discours, mais pour en devenir le moteur émotionnel et narratif. C’est ce lien entre le rationnel et l’émotionnel qui fera la différence entre une présentation qui s’écoute… et une présentation qui s’ancre durablement.

Si vous souhaitez vous aussi intégrer la vidéo à vos présentations de manière professionnelle et percutante, faites appel à des experts. Chez mprez, nous travaillons main dans la main avec Polvo pour concevoir des supports qui allient storytelling, design et impact vidéo.

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